• MOBILISATION

    ANNEE 2008 : BILAN TRES NEGATIF POUR LES SALARIES D’EURODIF

     

    -         Une augmentation de salaire dérisoire sans aucune avancée sociale.

    -         Des conditions de travail déplorables suite à une nouvelle diminution des effectifs.

    -         Aucune reconnaissance de nos compétences et de notre ancienneté.

    -         Des axes de formation prévus qui n’ont jamais été réalisés pour les salariés.

    -         Un comité de direction qui ne joue pas la transparence et qui ne respecte pas les procédures.

    -         Un projet commercial sur Trois ans qui ne tient pas la route.

    -         De gros problèmes de sécurité dans les magasins qui peuvent nuire à la santé des salariés .

    -         Et pour finir les étrennes de fin d’année : ouverture des dimanches et fermetures tardives.

     

    Mais pour notre comité de direction ce n’est que du positif, car il s’engraisse bien avec des salaires de ministres qui pour nous ne sont pas justifiés.

     

      ET IL FAUT QUE CA COMMENCE

    PAR UNE MOBILISATION SANS PRECEDENT

    CHEZ EURODIF

     

    JEUDI 29 JANVIER 2009

     

    A L’APPEL DE TOUS LES SYNDICATS POUR DEFENDRE:

     

    NOS SALAIRES

    NOS EMPLOIS

    NOS DIMANCHES

     

     

    Contactez vite vos représentantes Cgt afin de s’organiser ensemble.

    Plus qu’hier, il est nécessaire de faire bloc!

     

    Armelle NICOLLE : 06.99.40.69.66 Brest

    Mireille CERQUA : 06.61.66.16.31 Metz

    Isabelle LEGARZENNEC : 06.61.05.65.66 St Brieuc

    Colette LECHAT : 06.60.78.53.56 Alençon

    Muriel GODFROY : 09.63.29.48.50 Caen

     


  • Commentaires

    1
    ELUS CGT
    Mardi 6 Janvier 2009 à 21:45
    Nous vous informons que la prochaine réunion ordinaire aura lieu le mardi 13 janvier 2009 se tiendra également une réunion extraordinaire demandée à la mojorité des élus concernant l'évolution du magasin de cherbourg dont la situation des salariés devient inquiétante
    2
    élus cgt
    Vendredi 9 Janvier 2009 à 21:54
    Travail dominical : l'examen du texte à l'Assemblée reporté sine die


    Le Premier ministre François Fillon à l'Assemblée nationale le 17 décembre 2008 Photo : AFP
    L'examen du texte sur l'extension du travail dominical, initialement inscrit le 15 janvier au menu des députés, est reporté sine die, selon l'ordre du jour de l'Assemblée nationale fixé par le gouvernement jusqu'au 25 janvier et communiqué mardi 6 janvier.

    La proposition de loi UMP est ajournée notamment en raison des débats qui s'annoncent très houleux sur la réforme du travail législatif. La gauche a promis de livrer une bataille d'amendements contre ce projet de loi qui vise, selon elle, à "bâillonner" l'opposition. Deux semaines entières de débats ? au lieu d'une initialement ? sont d'ores et déjà prévues sur ce texte.

    L'examen du texte sur le travail du dimanche se retrouve donc de nouveau ajourné et n'apparaît pas à l'ordre du jour de l'Assemblée jusqu'au 25 janvier, communiqué dans la matinée en conférence des présidents.

    Jusqu'à présent, sa discussion à l'Assemblée nationale ? dont le président Nicolas Sarkozy avait exigé qu'elle débute avant Noël pour ne pas donner l'impression de reculer ? a été purement symbolique.

    Les débats sur ce texte qui divise fortement la droite n'ont en effet duré que deux petites heures en soirée, le 17 décembre, dans une ambiance électrique qui a obligé la majorité à battre en retraite, officiellement pour "calmer les esprits".
    3
    élus cgt
    Vendredi 9 Janvier 2009 à 22:25
    08/01/2009 Imprimer - Envoyer à un ami
    DMC : les syndicats estiment qu'il y aura entre 105 et 137 licenciements secs

    MULHOUSE, 8 jan 2009 (AFP) - La reprise du fabricant de fil DMC SA par Bernard Krief Consulting devrait entraîner 105 à 137 licenciements secs sur un total de 382 salariés, le chiffre final étant fonction du nombre de départs en retraite financés par l'État, a-t-on appris jeudi 8 janvier de source syndicale.



    Produits textiles de la société DMC dans une mercerie à Caen le 30 avril 2008
    Photo : Mychèle Daniau/AFP


    Trente-deux salariés sur les 137 qui perdront leur emploi peuvent prétendre à un départ en retraite "FNE" avec dispense de recherche d'emploi car ils ont atteint l'âge requis de 56 ans, mais le financement de ce dispositif n'est pas acquis. Or dans le cas de DMC SA, ce financement incombe à l'État, a indiqué l'intersyndicale CFDT-CFTC-CFE/CGC-CGT de l'usine de Mulhouse à l'issue d'un comité central d'entreprise à Illzach (Haut-Rhin).

    "Selon la réponse de l'État, il y aura donc entre 105 et 137 licenciements secs, sachant que nul n'ignore les difficultés de reclassement du personnel âgé", a précisé l'intersyndicale à l'AFP.

    "Le gouvernement doit répondre rapidement: les lettres de licenciement partent le 15 janvier", a complété Graziella Stefana, secrétaire du comité central d'entreprise.

    Les syndicats du fabricant de fil ont aussi exprimé jeudi leur "très vive déception" face aux indemnités de départ jugées insuffisantes. Elles se situeront entre 5 100 et 6 600 euros, selon le nombre de licenciements, dans le cadre d'une enveloppe de 700 000 euros allouée par le repreneur, a souligné l'intersyndicale de Mulhouse.

    Les syndicats ont réclamé un montant de 8 000 euros pour cette prime supra-légale (complémentaire aux indemnités de licenciement), soit la somme obtenue par les licenciés de lex-société soeur, DMC Tissus, lan dernier lors de sa cession également à Bernard Krief Consulting.

    Les syndicats ont annoncé qu'ils demanderaient au nouveau propriétaire d'apporter les "quelque 250 000 euros manquants".

    Ils ont toutefois salué le fait que le repreneur prenne en charge la prime supra-légale et critiqué l'absence de financement par DMC SA, que l'administrateur judiciaire de l'entreprise textile a expliqué jeudi par la faiblesse des fonds disponibles, ont-ils rapporté.

    Le tribunal de commerce de Paris a autorisé le 29 décembre dernier la reprise par Bernard Krief Consulting de DMC SA qui se trouvait en redressement judiciaire depuis mai 2008.
    4
    élue CGT
    Jeudi 25 Juin 2009 à 11:37
    Eurodif (habillement d?ration)
    Salaires au rabais, gr? pour les soldes
    jeudi 25 juin 2009
    A l’appel d’une intersyndicale CGT-CFDT-FO-CFTC, un mouvement de gr? pour les salaires a touch?ercredi, au premier jour des soldes d’? un tiers des magasins de l’enseigne.
    La direction propose une augmentation de 4 centimes du taux horaire pour 734 des 1.343 salari?ayant le statut d’employ?et une enveloppe pour des augmentations individuelles. Cette proposition ferait passer le taux horaire ?,96 euros alors que le Smic va ?e de 8,83. Ce qui est jug?nsuffisant par les syndicats qui ont appell? un mouvement de gr? nationale in?t dans l’histoire d’Eurodif.

    eurodif.Les salari?perturbent les soldes
    25 juin 2009 - R?issez ?et article









    Lancement des soldes perturb?hez Eurodif: les salari?de l'enseigne de tissus et de pr??orter ont largement suivi hier le mouvement de gr? national qui porte sur la revalorisation des salaires. A Lorient, une trentaine de salari?se sont mis en gr?. M? «ras-le-bol» ?uimper o?ule la direction ?it pr?nte sur les 18 personnes que compte le magasin. A Brest, la vingtaine d'employ?de la rue Jean-Jaur?ont ? rejoints par une dizaine de personnels du magasin de Kergaradec et du si? administratif. L'?blissement de Saint-Brieuc a ?lement ? affect?ar ce mouvement.
    • Tags :
    • Commerce
    • eurodif
    • gr?
    • soldes
    • salaires
    • revalorisation
    Eurodif.Gr? nationale le jour des soldes
    23 juin 2009







    Un mot d'ordre intersyndical de gr? a ? lanc?our demain au sein du groupe Eurodif. Plus de soixante-dix magasins sur tout le territoire fran?s pourraient ?e perturb?le premier jour des soldes. Les revendications des salari?font suite aux propositions de la direction jug? insuffisantes. «Pour les n?ciations annuelles, notre directeur nous offre 0,04% d'augmentation, ?eine de quoi s'offrir un sandwich, alors que nous demandons 2%. Nos conditions de travail ne cessent de se d?ader et nous ne sommes plus assez nombreux dans les magasins» expliquent des salari?de Lorient qui gagnent un peu plus de 1.100 EUR net apr?plus de 20 ans d'entreprise.
    • Tags :
    • Social
    • Gr?
    • eurodif
    DERNIERE MINUTE
    11:10 - mercredi 24 juin 2009
    Mouvement de gr? bien suivi chez Eurodif
    Les salari?devant le magasin quimp?is.
    Les n?ciations salariales annuelles n'ayant pas abouti, l'intersyndicale des magasins Eurodif a lanc?n mot d'ordre de gr? pour le premier jour des soldes. A Quimper, le mouvement est bien suivi. Les gr?stes resteront devant le magasin toute la journ? demandant aux passants de signer une p?tion. Le magasin reste ouvert et fonctionne avec un effectif tr?r?it, essentiellement du personnel d'encadrement.







    ACTUALITE Angers
    jeudi 25 juin 2009
    Eurodif accus?e « solder » aussi ses salari? Pr?d'une trentaine de salari? soit 80 % du personnel, ont d?ay?ier, de 12 h ?9 h, en faisant un sacr?affut devant le magasin, boulevard Foch.
    En ce premier jour de soldes, une majorit?e salari?du magasin Eurodif, boulevard Foch, s'est mise en gr?.
    Banderoles, tracts, p?tions, coups de sir?, interventions au m?phone... Elles ont men?eur premi? gr? avec beaucoup de fra?eur et de professionnalisme. C'est comme si elles avaient toujours fait ? la grande surprise des clients, ?nn?par ce mouvement social en pleine p?ode de soldes.

    « Nous sommes nombreux ?voir jusqu'?rente ans de bo? avec, toujours, le Smic. Notre qualification est inf?eure ?e qu'elle devrait ?e. Il y en a marre. Aujourd'hui, nous voulons ?e entendus », explique cette salari? entour?par ses coll?es, sur le trottoir face ?'entr?d'Eurodif, boulevard Foch.

    Revendications

    Outre la revendication salariale, les employ?r?ament de meilleures conditions de travail. « Il n'y aura pas de remplacements, cet ?. Ce qui veut dire le double de travail et sans climatisation ?'?ge ! » Une autre ajoute : « Quand vous ?s de 13 h 30 ?9 h ?a caisse, sans ?e assis, sans bouteille d'eau et sans pause, ce n'est pas normal. » La direction du magasin n'a pas souhait??ir.

    Patrice Bouyer, membre du bureau d?rtemental FO, ?it pr?nt pour recueillir « le cahier de dol?ces ». Le mouvement de gr? national, soutenu par l'intersyndicale CGT, FO, CFDT et CFTC, a touch?a plupart des magasins. « Nous r?amons 2 % d'augmentation de salaire pour tous. » Et l?pas question de solder!

    J.-M. H.
    5
    ELUS CGTNews
    Jeudi 9 Juillet 2009 à 12:08
    News
    07-07-2009

    Travail du dimanche: le texte controvers?e nouveau ?'Assembl?
    Le gouvernement va devoir livrer une difficile bataille ?'Assembl?nationale pour convaincre que la quatri? version du texte sur le repos dominical examin??artir de ce mardi 7 juillet n'a pas pour objectif de g?raliser le travail du dimanche, comme l'en accuse l'opposition.

    Le gouvernement et le parti socialiste s'accusent mutuellement de "mensonges" sur le nombre de "communes et zones touristiques" qui pourront pr?ndre aux d?gations, donnant ?ette d?nition des interpr?tions contradictoires.

    A la veille de son examen ?'Assembl? plusieurs mesures qualifi? de garde-fous ont ? introduites avec l'accord du gouvernement au texte sur le travail du dimanche afin de tenter de rassurer la majorit?t d?morcer la pol?que sur une g?ralisation du dispositif.

    Ces mesures doivent ?e pr?nt? en commission des Affaires sociales, peu avant l'ouverture ?9H30 dans l'h?cycle du d?t sur la proposition de loi Malli?ur les "d?gations au repos dominical". Le texte pr?it de r?lariser, avec contrepartie pour les salari? le travail dominical dans trois grandes agglom?tions (Paris, Lille, Marseille) et de l'?ndre, sans contrepartie obligatoire, ?ous les commerces de d?il des communes et zones touristiques.

    Pour limiter plus strictement le nombre de communes concern?, un premier amendement propose de faire r?rence ?es "communes d'influence touristique" et non plus "communes touristiques", terme qui donne lieu ?es interpr?tions contradictoires.

    M. Malli?t le gouvernement affirment que le texte ne porte que sur les communes touristiques au sens code du travail, soit environ 500. L'opposition PS ?que en revanche le chiffre de 6.000, prenant comme crit? le code du tourisme.

    Un deuxi? amendement proposera que dans les communes touristiques, une n?ciation soit engag?entre organisations de salari?et organisations patronales, afin de pr?ir des contreparties pour les salari?

    Un troisi? amendement devrait par ailleurs exclure du dispositif l'Alsace et la Moselle qui b?ficient d? de r?es propres et dont de nombreux parlementaires ?ient vent debout contre la proposition.

    Le pr?dent de la commission des Affaires sociales, Pierre M?ignerie (UMP), oppos? une g?ralisation du travail dominical, pr?ntera ?lement un amendement afin de cr? un comit?harg?e veiller au principe du repos dominical. Compos?e trois parlementaires de la majorit?t trois de l'opposition, il pr?ntera chaque ann?un rapport au Parlement.

    "Le gouvernement n'est pas oppos? certaines limitations", a indiqu?. M?ignerie ?'AFP. "Il sait que beaucoup d'entre nous sont pr? ??er des probl?s parce qu'il y a des proc?multiples, sont pr? ?rendre en compte les usages existants et acceptent que certaines communes touristiques soient en zone exceptionnelle, point final". "Il faut les rassurer qu'il n'y aura pas d'extension exag?e", ajoute M. M?ignerie, relevant que "le maire est au coeur du dispositif" puisque c'est lui qui demandera au pr?t de d?ger au travail dominical".

    Maire de Vitr?. M?ignerie "n'a pas envie de demander ?tre commune d'influence touristique pour avoir le travail du dimanche, 70% des mes coll?es sont dans cette situation".

    Paris fera toutefois exception puisque, si le texte est vot?n l'?t ce sera le pr?t, et non le maire, qui en demandera le classement en commune d'influence touristique, avec, comme cons?ence, la possibilit?pour tous les commerces de d?ils, d'ouvrir tous les dimanches de l'ann?

    Selon un sondage Viavoice pour Lib?tion ?ara?e le matin ou s'ouvre le d?t, 55% des Fran?s se disent contre le travail le dimanche.
    6
    élues CGT
    Vendredi 4 Décembre 2009 à 13:21
    Bonjour à toutes et à tous,
    D'après les effectifs fournis par la Direction (1413 salariés au 30/11/2009 - CDI + CDD et contrats suspendus d'au moins 6 mois de présence), il n’a pas été possible d'augmenter les chèques Cadhoc de 5¤ mais de 3¤, ce qui les met à 28¤ par salarié.
    J'espère que le Personnel sera satisfait mais pour faire mieux, il aurait fallu bloquer encore + tôt la billetterie cinéma car c'est le poste le plus lourd.
    Les membres du CE
    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :